Et la contribution nette de la France à l'Union européenne a explosé : elle s'élevait, chers collègues, à 1 milliard d'euros en 2000, à 4,3 milliards en 2017, quand Emmanuel Macron est arrivé au pouvoir, et elle va bientôt dépasser les 10 milliards.
Alors comment accepter de sacrifier notre hôpital, de mal payer nos enseignants, et maintenant de décaler l'âge de la retraite, tout cela pour pouvoir donner de l'argent à la Turquie de M. Erdogan, pour financer les délocalisations de nos usines vers la Pologne, pour augmenter les salaires des bureaucrates de la Commission, pour financer les profits des industries pharmaceutiques tant choyées par Mme von der Leyen, qui refuse d'ailleurs de divulguer les textos qu'elle a échangés avec le patron de Pfizer ?
Oui, une politique radicalement différente doit rechercher des économies. Mais une telle politique passerait par la fin de votre soumission à l'égard de l'Union européenne et de l'Allemagne,…