Monsieur le député, vous avez mentionné trois hypothèses, mais il en existe une quatrième : des guidelines sont définis au niveau européen, mais interprétés différemment d'un pays membre à l'autre. C'est précisément ce qui s'est passé avec la prosulfocarbe : l'Anses impose l'utilisation de buses à limitation de dérive de 50 %, alors que nos confrères allemands emploient des buses à limitation de dérive de 90 %. Il faudrait s'assurer que toutes les agences sanitaires aient la même interprétation des guidelines européennes.