La difficulté tient au fait que la France est découpée en deux zones différentes – zone Nord et zone Sud – pour les produits phytosanitaires. L'axe 1 du plan de souveraineté des fruits et légumes vise à faciliter les reconnaissances mutuelles : dès lors qu'il existe une solution dans un autre pays européen, les textes réglementaires permettent d'en reconnaître l'usage en France dans des délais assez rapides.
L'Union européenne affiche son intérêt pour le Green Deal et pour l'approche One Health : comment expliquer, dès lors, que la gestion des risques soit déléguée à chaque pays ? Ce double discours n'est pas cohérent.