Monsieur Attal, après le « quoi qu'il en coûte », le « combien ça coûte » pour l'écologie n'est pas une question à se poser, à moins de nier les urgences sociales – pensons aux fins de mois difficiles – et l'urgence écologique – car ne pas tenir compte de cette dernière pourrait conduire à l'effondrement, un à un, des piliers de notre existence même.