Je ne vous parle pas de plaidoyer, mais bien de chiffres et de faits.
Nous considérons que c'est une erreur d'avoir reporté sur un haut fonctionnaire la responsabilité d'un arbitrage impliquant des risques. Pour nous, le fait de s'en remettre aux seules autorités sanitaires ne permet pas une juste évaluation des coûts et des bénéfices. En d'autres termes, la décision de 2014 ne nous paraît pas judicieuse.