Ces manipulations ne sont pas exigées dans les dossiers réglementaires. C'est aberrant, car l'épigénétique est en plein boom depuis vingt ans. De plus, il existe des publications scientifiques qui ont démontré les effets du DDT. Mais comme ces études n'ont pas d'existence sur le plan réglementaire, elles sont écartées. C'est ce que l'on observe dans l'expertise sur le glyphosate. Il y a donc un double effet et un double déni.