Sur l'idée qu'il pourrait y avoir trop d'organisations, on peut toujours voir le verre à moitié plein ou à moitié vide. Je pense pour ma part que la diversité des appuis est un plus en France. En termes de développement agricole, on ne fait pas la même chose dans un Civam ou dans une chambre d'agriculture. La participation à un collectif relève en quelque sorte d'un choix politique. L'essentiel est que ce collectif nous aide à passer les transitions.
Même s'il y a beaucoup de monde qui s'occupe des agriculteurs, peu d'organismes se consacrent à l'accompagnement des transitions. Il y a une batterie de services et d'appuis qui sont distribués afin que toutes ces organisations survivent. Pour autant, il y aurait sans doute du tri à faire parmi les services, pour ne garder que ceux qui sont vraiment utiles.