Je suis ici en ma qualité de président de Phyteis. Je ne vous parlerai pas d'une société en particulier. Nous nous inscrivons dans une dynamique de diminution de l'impact. La recherche de nouvelles molécules est constante. Les bioagresseurs ne sont pas figés. Il faut toujours avancer dans la recherche pour pouvoir répondre aux problèmes qui surgissent face à nous.
Vous me demandez si nos sociétés mettent d'un côté la profitabilité, de l'autre la santé. Je m'insurge. La santé passe d'abord.