Nous sommes là pour toutes les agricultures. La France reste et restera un marché très important pour nos sociétés. Sa diversité nous permet de tester toute notre gamme de produits dans un environnement que nous connaissons très bien. Pour connaître le succès, il convient de proposer une solution dès qu'une interdiction est formulée, de respecter le pas de temps de la recherche, d'avoir une stabilité réglementaire et d'être ouvert aux nouvelles technologiques. Il importe de pousser les partenariats public-privé, et également de développer les compétences pour pouvoir déployer les innovations sur le terrain.
Les études de réhomologation coûtent très cher. Quand nous sommes certains qu'un produit ne sera pas accepté, nous ne réalisons pas d'études. Il serait intéressant, pour les petites cultures, que l'on puisse limer les différences zonales au sein de l'Europe, afin d'éviter des impasses pour nos agriculteurs. Je ne parle pas que de phytopharmacie, mais également de l'usage de drones, par exemple.