Il faut revenir à la notion d'impact. Il s'opère une évolution, mais le temps de la recherche est long : sortir un produit prend dix à douze ans. L'évolution sera lente. L'Association française des entreprises de produits de biocontrôle (IBMA) vise 30 % de biocontrôle. Nous voulons bien relever ce pari. Nombre de nos membres sont aussi membres d'IBMA. Les évolutions en cours nécessitent beaucoup d'accompagnement sur le terrain. Il s'opère une mue de la protection chimique vers une protection basée sur quatre ou cinq piliers. Depuis que nous avons lancé le nouveau Phyteis, nous constatons de plus en plus d'intérêt de la part de nos membres. Comme nous disposons de différents outils dans nos sociétés, nous sommes légitimes pour accompagner ce mouvement. Nous ne sommes pas les seuls.