Nous nous inscrivons dans la transition portée par le règlement SUR. Nous nous sommes inscrits dans cette dynamique depuis de nombreuses années. Faut-il viser une réduction de 20 %, de 30 %, de 50 % ? Cela est très difficile à dire, d'autant que nous travaillons sur du vivant. Pour ce qui est de réduire l'impact grâce à un travail combinatoire, à des produits à meilleur profil, à du biocontrôle, au digital, il est certain que nous serons au rendez-vous.
Pour répondre à votre deuxième question, il me semble qu'il n'y a aucune contradiction. Toutes nos entreprises sont ancrées dans la société civile. Certaines sociétés sont plus importantes que d'autres, mais toutes profitent des avancées réalisées. L'offre ne se limite pas à quatre ou cinq acteurs. Il ne faut pas s'inquiéter d'une approche monopolistique. Il y a de la place pour tout le monde.