On pourrait en effet estimer qu'il s'agit de la « puissance des équilibres ». Cette position me semble pertinente dans de nombreuses zones, de nombreuses régions actuellement en conflit. J'ai passé quatre ans à Dakar, en Afrique de l'Ouest, une région secouée de coups d'État et de troubles en tout genre : dans cette zone, par exemple, il est à la fois extrêmement difficile et extrêmement nécessaire, en mesurant bien la difficulté et les coups que l'on prend, d'être cette puissance d'équilibre(s).