C'est avec une forte impression de déjà-vu que je m'adresse à vous aujourd'hui au sujet de la loi de programmation des finances publiques. C'est en effet dans le même hémicycle qu'en juillet dernier nous discutions du programme de stabilité présenté par le même Gouvernement, avec les mêmes objectifs : rassurer les marchés, rassurer la Commission européenne, rassurer la Cour des comptes.