Sur le fond, je regrette que le débat ait été pollué par des aberrations et des échanges, certes importants, mais étrangers à ce texte. Nous avons eu droit à de nombreuses absurdités, à des débats annexes – pour ou contre l'ouverture à la concurrence ? – et à des accusations contre le grand capital, alors qu'il est question de groupes détenus à 70 % par la SNCF ou la Caisse des dépôts.