C'est le cœur de cette proposition de loi, puisqu'il s'agit de l'article qui permet de reporter de deux ans l'ouverture à la concurrence. Les téléphones ont dû beaucoup chauffer. Un vent de panique a sans doute traversé l'esprit des grands idéologues de l'ouverture à la concurrence, car ils ont tous réalisé, manifestement en catastrophe, que rien n'était prêt, qu'on allait au chaos et qu'il valait mieux reculer pour mieux sauter. Car ce n'est que cela que vous proposez ! Et les raisons qui vous conduisent à reporter de deux ans l'ouverture à la concurrence en 2023 vaudront également en 2026.