Souvent, les entreprises s'installent dans les villes pour deux raisons : c'est là qu'on trouve les gens qui ont le plus d'argent et que le temps de déplacement est le plus court. C'est donc plus rentable pour elles. Il reste aux associations les secteurs ruraux, de montagne, où les déplacements sont plus longs et où le pouvoir d'achat est plus faible. Il faut donc éviter que les associations ne récupèrent que les secteurs les moins rentables et que leurs activités et celles des entreprises soient mieux réparties.
Je reviens sur l'amendement précédent. Quelle est votre vision, madame la ministre, des horaires de travail des auxiliaires de vie sociale ?