Le groupe Écologiste soutient cet amendement. Il faut effectivement être ambitieux, à la fois concernant les temps de déplacement – du travail invisible – et le taux d'indemnisation des trajets.
Le nombre de personnes qui arrêtent, voire qui refusent de travailler, constitue un véritable enjeu. Le formuler ainsi peut sembler un peu raide, mais c'est à cette condition que le secteur se saisira du sujet à bras-le-corps, avec ambition, et sera en mesure d'apporter une réponse à toutes les personnes qui font ce choix.
Pensons aux nombreuses aides à domicile qui, sans diplôme, consacrent leurs journées et leur santé à s'occuper des autres, et se retrouvent aujourd'hui en grande difficulté financière.