Quel sera le bilan de ces économies ? On l'a déjà vu : des services d'urgences fermés, des patients qui attendent vingt-sept heures sur les brancards. Malgré tout cela, malgré le cataclysme dans lequel vous êtes en train de précipiter les services publics et l'hôpital, vous venez nous dire : « On continue et on accélère ! » Eh bien non ! J'espère que vous aurez le courage de dire aux Français que votre texte, ce sont des superprofits pour Total et une pierre tombale pour les services publics et l'hôpital.