Cet amendement a pour objectif le maintien des crédits alloués aux communes pour la mise en place des activités périscolaires. Le fonds de soutien au développement de ces activités, instauré pour accompagner les communes dans la mise en œuvre de la réforme des rythmes scolaires, a été pérennisé en 2015. Or aujourd'hui il est menacé de suppression, ce qui le cas échéant pénaliserait 1 500 communes.