En vigueur depuis 2001, l'obligation de dispenser au moins trois séances par an d'éducation à la sexualité n'est pas respectée, au point qu'en mars, le Planning familial, Sidaction et SOS Homophobie ont saisi le tribunal administratif de Paris pour réclamer l'application de la loi. Cette situation montre que l'éducation à la sexualité doit être renforcée par tous les moyens. Les Écologistes proposent donc de financer une campagne de communication massive autour de l'éducation à la sexualité et à la vie affective, couvrant des thématiques telles que le respect du corps et du consentement, la prévention des infections sexuellement transmissibles (IST), des violences sexistes et sexuelles, la contraception ou encore les discriminations LGBTphobes.