À Mayotte, bon nombre d'enfants ne sont pas scolarisés faute de classe. Jusqu'à maintenant, des associations prenaient le relais pour assurer une préscolarisation. Or les crédits dédiés à ces associations étaient localisés sur le budget du préfet, et donc sans lien avec l'Éducation nationale. Je préférerais que ces crédits soient gérés par l'Éducation nationale.