La troisième priorité, enfin, c'est le rétablissement des finances publiques, et j'estime qu'il est parfaitement compatible avec cette volonté de protection que nous avons affichée, Gabriel Attal et moi-même. Le budget pour 2023 doit permettre d'atteindre les objectifs que j'ai rappelés au début de mon intervention : engager la baisse de la dette publique à partir de 2026, et revenir sous les 3 % de déficit public en 2027.
Je constate que les oppositions, tous groupes confondus, ont adopté en commission plus de 7 milliards d'euros de dépenses supplémentaires.