Un chantier est en cours, le Gouvernement a fait des propositions et alloué 250 millions d'euros à la transition écologique. Les intercollectifs, l'Institut français de la vigne et du vin (IFV) et l'Inrae ont engagé un travail de recherche, nécessaire pour trouver des solutions alternatives aux phytosanitaires. Toutefois, nous avons besoin de produits pour soigner les principales maladies de la vigne, qu'il s'agisse de biocontrôle ou de molécules de synthèse, dont l'écotoxicité est sans doute moindre. Dans ce domaine, les grands groupes doivent investir. Certaines start-up mènent des recherches en biocontrôle, mais il faut rendre le dispositif d'AMM plus pertinent, efficace et rapide.