soit subventionner à tout-va les factures des industriels et de l'économie française. Cela se traduirait dans un cas par une perte de compétitivité et par la fermeture des usines, et dans l'autre par des difficultés pour nos finances publiques et par une fragmentation de la zone euro. Il n'y a donc qu'une seule voie pour parer à ces risques : découpler les prix du gaz de ceux de l'électricité, subventionner les centrales à gaz et garantir finalement un prix de l'électricité plus acceptable pour notre économie.