Ce terme a été utilisé et le rapport le reprend, tout en indiquant qu'il n'y a pas d'actes terroristes menés par des militants écologistes. Vous opérez un rapprochement sémantique ; vous parlez de répression, d'interdiction de manifester, alors qu'il n'y a aucune preuve d'écoterrorisme. La violence des méthodes policières utilisées contre des militants des causes écologiques, les mêmes que pour des terroristes, nous inquiète et montre une dérive.