Je propose donc à tous ceux qui sont attachés à la bonne tenue des finances publiques, plutôt que de discourir de nouveaux objectifs, de nous rassembler pour tenir ceux-là, ce qui suppose déjà de contenir le déficit à 5 % du PIB en 2023, ensuite d'engager la réduction de la dette mais aussi de tenir bon pour éviter la multiplication des dépenses publiques, et enfin de voter cette loi de programmation.