J'en suis convaincu. Il faut avancer sur ces sujets-là. Il doit y avoir un référent LGBT-phobie dans chaque fédération, qui ne doit pas être la personne qui traite le racisme et l'antisémitisme. Il doit y avoir un référent dédié, formé, qui fasse des interventions et qui ait un budget spécifique. En 2023, on ne peut plus dire que ce problème n'existe pas. S'il n'y a pas de coming out au sein d'une fédération, c'est parce que le nécessaire n'a pas été fait pour en créer les conditions.