C'était donc au niveau fédéral et national. Il nous a été dit que c'était aux ligues régionales ou départementales d'œuvrer. En l'absence de changement d'État civil, ils nous ont dit que cet adolescent allait peut-être y renoncer. En sachant que les cas de renoncement pour les personnes trans sont vraiment très rares. Ça représente 0,08 % des cas. Étant donné qu'il s'agissait d'une personne mineure, ils nous ont indiqué ne pas vouloir faire d'efforts, ce qui nous a vraiment posé question. Il est assez inquiétant de constater qu'il n'y a pas de programme de formation à la Fédération française d'escrime.