Il n'y a pas de raison de ne pas croire la victime. Il doit ensuite y avoir une confrontation c'est le principe du contradictoire et du respect de la présomption d'innocence, mais notre rôle est avant tout de protéger les victimes. Je ne peux pas vous répondre précisément sur la mesure que nous adopterons parce que d'ici là, il y aura peut-être eu des décisions de justice, des évolutions, mais naturellement ce seront des cas qui seront examinés en interne y compris par notre comité de déontologie si nécessaire.