Ce qui est important dans ce type d'affaires, c'est de faire en sorte que le supposé agresseur et la victime ne se rencontrent pas, surtout dans les cas où il y a de notre point de vue un manque d'éléments. C'est ce qui a été appliqué pour le cas de Claire Palou et pour une autre situation qui concernait la fédération d'athlétisme l'année dernière.
Nous avons eu une autre affaire dans le domaine de la lutte. Elle concernait un entraîneur d'origine étrangère et nous avait été remontée par la fédération. Dès que nous avons eu l'information, le badge d'accès à l'INSEP de cet entraîneur a été désactivé. Depuis, il est parti à l'étranger et nous n'avons pas de nouvelles de lui, mais une mesure avait été prise tout de suite pour éviter que cet entraîneur puisse être sur le tapis de lutte avec l'athlète.