Mais après le débat en commission puis en séance, sans surprise, nous constatons que pas un mot n'aura été dit de l'essentiel, c'est-à-dire des mesures à prendre pour engager sa transition écologique et atteindre nos objectifs environnementaux ou pour améliorer la qualité de vie des Français en les protégeant des nuisances générées par le trafic aérien, en particulier dans les quartiers populaires – c'est le cas de ma circonscription.
En revanche, on y trouve un article unique – inique, devrais-je dire – pour attaquer le droit de grève.