Le texte n'oppose en rien – et je ne le ferai jamais non plus – les usagers aux contrôleurs aériens : ces derniers sont des agents du service public, qui ont à cœur de l'assurer correctement, dont l'image et la réputation de professionnalisme ont pu être abîmées par des grèves comme celles du 11 février dernier. Ils demandent précisément, par la voix de leur syndicat, qu'on procède à l'ajustement ciblé prévu dans la proposition de loi.