Vous demandiez également, madame Belluco, pourquoi nous nous attaquons aux contrôleurs aériens. C'est tout simplement parce que ces derniers ne sont pas soumis à la loi Diard, ce qui pose des difficultés, auxquelles cette proposition de loi apportera des réponses.
Enfin, je tiens à réagir aux propos de M. Portes. Tout d'abord, permettez-moi de dire que l'outrance n'a pas sa place à l'Assemblée nationale. Je profite de l'honneur qui m'est fait d'être rapporteur pour m'exprimer sur ce point, même s'il n'entre pas strictement dans le champ de la proposition de loi. Les propos que vous avez tenus en rapport avec le texte ne sont pas à la hauteur du mandat que nous avons tous reçu des électeurs.