. La France défend des positions spécifiques en matière commerciale. Le principe est de défendre nos intérêts, la réciprocité et la cohérence entre toutes les politiques publiques.
J'aimerais rétablir quelques vérités : si le Mercosur n'est pas voté à l'heure actuelle, c'est parce que la France s'y est opposée, notamment par ma voix au Parlement européen. La réciprocité est un point essentiel, comme les mesures miroirs ou le respect de l'accord de Paris. Notre objectif est plutôt d'avoir des accords, mais à condition de les sculpter pour les rendre acceptables.
Ma question s'adresse à Thomas Ménagé : comment concilier le fait de vouloir porter des mesures miroirs et celui de ne plus inclure l'agriculture dans les accords de commerce ?