Je comprends la pertinence d'assurer une bonne communication entre les organismes comme la Caf et les bailleurs, mais la méthode que vous proposez ici n'est pas envisageable pour moi. S'il existe un seuil de non-versement de l'APL, c'est parce que dans certains cas le coût de la gestion de l'aide est supérieur à la somme devant être versée aux allocataires. En l'espèce l'octroi d'une somme d'un euro mobiliserait trop de personnels et de moyens pour être soutenable. J'émets donc un avis défavorable sur cette mesure.