Les établissements français d'enseignement à l'étranger sont financés uniquement par les frais de scolarité. Du fait de la crise actuelle, ceux-ci baissent au Sahel, en raison du départ de nombreux personnels. Ces amendements proposent donc d'allouer aux établissements du Niger et du Burkina Faso les crédits nécessaires pour faire face à leur situation difficile.