Mesdames et messieurs les députés, nous sommes en train d'annihiler tous les bienfaits des bons débats que nous avions eus durant l'examen de la loi de programmation militaire. Un certain nombre d'entre vous ont été et sont peut-être encore élus locaux ; ils savent très bien qu'il y a un rythme à respecter entre l'année des études et la période des tranches de travaux, ce qui induit un décalage entre l'utilisation des crédits d'engagement et celle des crédits de paiement. S'agissant du nouvel hôpital militaire de Marseille, on ne pourra mener à bien l'année prochaine que les études.