Merci de vos propos. J'ai déjà répondu à une partie de vos questions.
En ce qui concerne le dialogue avec la société, nous avons besoin, dans les assemblées parlementaires, au Gouvernement, dans les territoires, de faire comprendre le métier d'agriculteur, la question de la souveraineté et les contingences qu'elle impose, ainsi que le fait que les transitions – y compris en matière de revalorisation du métier et de renouvellement des générations – ne sont pas aussi simples à faire qu'à décréter. Échouer à mettre tout cela sur la table freinerait justement beaucoup les transitions que nous avons à accomplir. Je serai donc un ministre de l'agriculture soucieux du dialogue et de pédagogie.