Le contexte inflationniste inquiète les entreprises. Du fait du dispositif des zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m), destiné à améliorer la qualité de l'air, la circulation des véhicules moins propres, identifiés par les vignettes Crit'Air 3, 4 et 5 sera limitée. Or la plupart des artisans n'ont pas les moyens de changer leur véhicule, souvent vétuste mais qui représente un outil de travail indispensable. Les véhicules utilitaires affichant une vignette Crit'Air 1 et 2 étant très onéreux, ne conviendrait-il pas d'augmenter le montant de la surprime à la conversion accordée aux professionnels ?