Merci, monsieur le ministre délégué, de me donner l'occasion de vous dire que l'aide qui est actuellement accordée à Mayotte n'est pas suffisante. La preuve, c'est qu'il y a encore beaucoup de nos compatriotes qui meurent de faim là-bas, ou du moins qui se nourrissent mal. Il y a aussi énormément de personnes qui arrivent à Mayotte de manière clandestine, vous le savez, et que l'on prend en charge. Je veux bien que l'on fasse comme s'ils n'existaient pas, mais alors on ne peut pas donner des leçons d'humanité. Puisque vous n'avez pas réglé la question de l'immigration clandestine à Mayotte, ils sont là,…