À un moment, l'État – c'est-à-dire nous tous, les contribuables – doit agir de manière décisive.
Nous, Mahorais, ne pouvons pas rester silencieux et ne pas vous répondre, monsieur le ministre. Vous devez entendre le message qui vient de tous les bancs de l'Assemblée. J'espère que le Gouvernement se saisira de cette occasion pour traiter la question de l'eau. Au moment où ce problème commence tout juste à se poser, nous enregistrons déjà un retard structurel, alors qu'avec le changement climatique, il se posera de manière aiguë sur tous les territoires d'outre-mer à cause de leur caractère insulaire.