Je veux d'abord me féliciter de l'adoption d'un amendement prévoyant une approche globale des enjeux de l'eau car ceux-ci ne se limitent pas à la question de sa gestion et posent le problème de conformité de la politique française au droit international.
Un plan global est nécessaire. Il faut éviter de jouer les pompiers en se contentant de combler chaque fois les déficits existants. Gouverner c'est prévoir, dit l'adage. Il faut donc lancer un plan, ce qui passe par la rédaction d'une loi d'orientation et de programmation sur cette question.