Il a pour objectif de prolonger l'action engagée lors du plan de relance, à savoir « développer une alimentation saine, sûre, durable, de qualité et locale dans les cantines scolaires des petites communes », en « soutenant leurs investissements d'équipement et de formation visant à proposer des repas composés de produits de qualité, frais, respectueux de l'environnement et locaux » à hauteur de 50 millions d'euros.
Cette mesure n'a pas atteint sa cible puisque seules 1 700 communes ont fait appel à ce fonds, soit 15 % des communes ciblées. L'amendement vise donc à élargir le dispositif aux plus grandes villes, chargées de l'enseignement primaire et de la petite enfance, aux départements, chargés des collèges, ainsi qu'aux régions, chargées des lycées.