Nous avons su faire face aux crises – celle de la grippe aviaire, de la guerre en Ukraine, du gel. Nous faisons le nécessaire, même si on pourra toujours dire que nous n'en faisons pas assez – c'est parfois plus confortable.
À chaque fois que c'est pertinent, je milite pour que l'on travaille sur la question de la demande – il suffit parfois de faire respecter les dispositions de la loi Egalim, notamment s'agissant de la filière laitière.
Enfin, au nom de quoi les marges sur les produits bio dans la grande distribution sont-elles plus importantes que celles sur les produits de l'agriculture conventionnelle ?