– nous le faisons à hauteur d'environ 100 millions d'euros sur notre propre budget. Les collectivités doivent aussi faire leur part. C'est fondamental pour structurer la filière dans la durée.
Un fonds d'aide pour 2024 ne résoudra pas le problème en 2025 ou 2026. Or les exploitants qui se convertissent au bio ont besoin de visibilité. La crise est réelle – nous ne la nions absolument pas. Vous ne m'avez d'ailleurs pas entendu dire qu'il n'y avait pas de crise.