J'ajoute que le bio présente l'avantage d'être porteur de solutions. Nous le voyons, entre autres, s'agissant du glyphosate – sujet sur lequel j'ai apprécié vos propos, monsieur le ministre. Je suis pour ma part opposé à ce que l'Union européenne renouvelle pour dix ans l'autorisation de son utilisation – une durée de cinq ans, avec une clause de revoyure après deux ou trois ans, serait bien suffisante –, et je souhaite que la France s'y oppose également.