Pouvez-vous en dire plus sur son montant estimé et ses modalités d'attribution ? Tout retard dans sa distribution pourrait avoir des répercussions irréversibles.
Vous avez également annoncé – je ne peux que vous en féliciter – le deuxième volet du plan national de recherche et d'innovation (PNRI), dont l'objet est de proposer des alternatives opérationnelles aux néonicotinoïdes, pour les années 2024 à 2027. Quel sera le montant alloué pour la période indiquée ? Où les financements apparaissent-ils dans le budget ? La filière a besoin de connaître officiellement les ressources qui lui seront dédiées.
Notre rôle est de mettre en lumière ces enjeux importants et de réclamer la transparence, l'action et la prise en considération des besoins pressants des paysans. Nous ne pouvons plus nous permettre de reporter les décisions qui détermineront le sort de notre souveraineté agricole : l'heure est à l'engagement. Cela étant dit, nous savons tous dans quelles conditions ce projet de loi de finances sera adopté. Est-il bien utile, dès lors, de donner un avis ?