Une augmentation assez limitée de la part de l'État au capital d'Engie lui donnerait 50 % des voix. Je conçois que ceux qui ont privatisé GDF – votre famille politique, monsieur le rapporteur pour avis – n'y soient pas particulièrement favorables, mais, pour notre part, nous souhaitons reconquérir le capital d'Engie comme nous avons obtenu la reconquête du capital d'EDF. C'est une première étape. Quant à General Electric, il faut montrer notre désaccord avec le plan de suppression d'emplois qui a lieu en ce moment même dans la filière de l'éolien terrestre et qui, selon nous, met en cause l'intérêt industriel de notre pays.