Accuser notre majorité de remettre en cause l'interdiction des passoires thermiques alors que c'est précisément elle qui l'a voulue, c'est une certaine mauvaise foi.
En quatre ou cinq amendements, je constate que les amendements de la NUPES auraient déjà engagé une quinzaine de milliards d'euros de dépenses supplémentaires, qui se seraient immédiatement ajoutés à notre déficit alors que de très nombreuses aides existent déjà en matière de rénovation des logements. Lors de l'examen d'un PLF, il faut savoir garder une certaine responsabilité budgétaire.