J'ajouterai que le patronat français a besoin de techniciens qui poursuivent leurs études le plus loin possible. Ce n'est pas les aider que de supprimer quatre semaines de cours ! Je serai très attentif à la manière dont sera menée la réforme de l'enseignement professionnel. On entend tout et son contraire, et je ne tiens pas à ce que nous nous disputions dès aujourd'hui. Nous verrons.